Dans cet article, nous explorerons le monde fascinant de Superamas de galaxies. De ses origines à son impact sur la société actuelle, Superamas de galaxies a fait l'objet d'innombrables études et débats au fil des années. Au fur et à mesure de cette analyse approfondie, nous découvrirons les nombreuses facettes qui ont contribué à la notoriété de Superamas de galaxies dans différentes sphères, qu'il s'agisse de la culture populaire, de la science, de la politique ou de toute autre sphère de la vie quotidienne. Sans aucun doute, Superamas de galaxies représente un sujet très pertinent qui mérite d’être examiné sous différents angles pour comprendre sa véritable portée et son importance dans le monde moderne.
En astronomie, un superamas de galaxies (ou simplement superamas en l'absence d'ambiguïté ; en anglais : supercluster (of galaxies)) est une association d'amas et de groupes de galaxies.
Les superamas font partie des plus grandes structures connues dans l'Univers. Leur existence indique que les galaxies ne sont pas distribuées de façon uniforme ; la plupart sont regroupées en groupes et en amas, les groupes en contenant au plus une cinquantaine et les amas jusqu'à plusieurs milliers. Ces groupes et ces amas, avec quelques galaxies isolées, se regroupent à grande échelle selon des structures encore plus grandes, les superamas.
Les superamas sont fréquemment subdivisés en groupes d'amas appelés nuages de galaxies. L'espace situé entre les superamas est quasi dépourvu de matière. L'existence de structures plus grandes que les superamas, comme les filaments galactiques, est discutée.
D'après Gayoung Chon et al., la taille d'un superamas varie de plusieurs dizaines de mégaparsecs (Mpc) jusqu'à environ 150 x h-1 Mpc.
La forme d'un superamas est irrégulière, souvent aplatie, élongée ou filamenteuse et généralement non sphériquement symétrique.
L'expression « super-cluster of galaxies » a été utilisée, pour la première fois, en 1958, par l'astronome franco-américain Gérard de Vaucouleurs.
D'après Gayoung Chon et al., l'existence des superamas a été mise en évidence, pour la première fois, en 1961, par l'astronome américain George O. Abell, avant d'être confirmée, en 1973, par Richard S. Bogart et Robert V. Wagoner (es) ainsi que par Michael G. Hauser et P. James E. Peebles.
La Voie lactée fait partie du Groupe Local, lequel est à son tour un membre du Superamas Local, appelé aussi Superamas de la Vierge, une superstructure qui s'étend sur environ 18,4 millions de parsecs. Lui-même fait partie d'un ensemble encore plus vaste nommé le Superamas Laniakea découvert en 2014.
Plusieurs catalogues de superamas ont été publiés, notamment par Herbert J. Rood, T. X. Thuan, Neta A. Bahcall (en) et Raymond M. Soneira, David J. Batsuki et Jack O. Burns, Michael J. West, Elena Zucca, Giovanni Zamorani, Roberto Scaramella et Giampaolo Vettolani.