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Cette voie a été ouverte sous sa dénomination actuelle en 1904. Par contrat du , la Ville de Paris s'est interdit de construire dans les jardins du Trocadéro sur une zone de 6 mètres de largeur en bordure de cette voie.
Un matin de janvier 1911, un obus, datant probablement de la guerre de 1870, est découvert dans un massif de la rue, déposé là par un inconnu. Trois jours plus tard, un nouvel obus est découvert au même endroit.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
No 1 : hôtel Luis de Errazu, de style néo-classique, réalisé par l'architecte Walter-André Destailleur en 1903,. Il comporte également une vaste entrée au 2, boulevard Delessert. Après la Première Guerre mondiale, quelques modifications sont apportées au bâtiment par l’architecte à la demande son nouveau propriétaire, M. Bessonneau. En 1923, l’hôtel est en vente, avec une mise à prix de 1 500 000 francs. À la fin de cette même année, il est visité par un journaliste qui dépeint un lieu « où tout est d’un goût parfait » et décrit notamment un salon en rotonde, « dont les murs sont de marbres polychromes », « où se trouve un Greco des plus beaux », et dont le plafond vient d’être peint par le peintre catalan José Maria Sert. En 1930, l’hôtel, qualifié de « petit », est habité par le prince de Faucigny-Lucinge, pilote automobile et « cocaïnomane invétéré ». L'hôtel particulier, qui offre une large vue dégagée sur le Trocadéro et la tour Eiffel, a été racheté en 1986 par le prince Sultan ben Abdelaziz Al Saoud puis transmis à sa femme et à ses enfants.
No 3 : hôtel Clos (du nom de son propriétaire de l'époque : Jean Clos) construit par l'architecte René Sergent en 1907.
No 7 : immeuble de 1905 réalisé par l'architecte Louis Sorel.
No 9 : habité début 1907 ; est alors décrit comme un immeuble de six étages avec chambres de domestiques au 7e étage et un appartement par étage ; l’homme d’État, diplomate et écrivain Alain Peyrefitte (1925-1999) résida à cette adresse.
↑ ab et cProtections patrimoniales, 16e arrondissement, Ville de Paris, Règlement du PLU, tome 2, annexe VI, p. 340 à 432.
↑Archives départementales de Paris, Plan de chantier du rez -de -chaussée de l’hôtel Luis d’Errazu, sis 1, rue Le Tasse, dressé par W. d’Estailleur, architecte, 23 juillet 1904, 6 AZ 1378.