Dans cet article, nous allons plonger dans le monde fascinant de Cinéma argentin, explorer ses nombreuses facettes et approfondir son importance dans la société moderne. Depuis ses origines jusqu'à son impact aujourd'hui, Cinéma argentin a joué un rôle crucial dans différents aspects de la vie quotidienne, influençant des personnes de tous âges, cultures et couches sociales. Dans cette optique, nous analyserons comment Cinéma argentin a évolué au fil du temps, ainsi que son importance dans divers domaines, de la politique et de l'économie à la science et à la culture populaire. Préparez-vous à vous plonger dans un voyage passionnant à travers l'histoire et le présent de Cinéma argentin, en découvrant sa pertinence et son impact sur le monde contemporain.
Issu d'une longue tradition, le cinéma argentin est aujourd'hui l'un des plus importants du monde hispanique.
Le cinéma argentin est l'un des plus dynamiques d'Amérique centrale et du Sud.
Très prolifique dans les années 1940 et 1950, avec 60 films sortis par an, il connaît une renaissance importante depuis le milieu des années 1990. Aujourd'hui, les grands festivals de films internationaux sélectionnent régulièrement les films argentins et la qualité de la production nationale est remarquée.
La production nationale reste quantitativement modérée, mais Buenos Aires est, de fait, une ville qui attire soixante à quatre-vingt tournages chaque année.
Par symbolisme nationaliste, il est dit en Argentine que le premier film réalisé dans le pays est, en 1897, La bandera argentina (littéralement Le Drapeau argentin) du franco-argentin Eugène Py (1859-1924). Cependant au moins trois autres courts métrages ont été tournés en 1896 à Buenos Aires par l'Allemand Federico Figner, Vistas de Palermo, Avenida de Mayo et Plaza de Mayo. Ces quatre films sont considérés comme perdus.
En 1908, Mario Gallo réalise le premier film de fiction, El fusilamiento de Dorrego, suivi de La Révolution de mai (es) en 1909.
Le premier long métrage est en 1914 Amalia, drame d'Enrique García Velloso, suivi en 1915 par Nobleza gaucha (es) de Humberto Cairo (es) et Ernesto Gunche.
El cantar de mi ciudad, réalisé par José A. Ferreyra, constitue, en 1930, le premier film sonore. Le premier long métrage parlant est ¡Tango!, réalisé par Luis Moglia Barth en 1933. Un des premiers grands succès de l'âge d'or du cinéma argentin est Riachuelo, produit par Argentina Sono Film (en) en 1934.
Cette décennie est marquée par l'émergence de jeunes cinéastes novateurs, réunis par la critique sous le nom de « Nouveau Cinéma argentin », et dont les figures emblématiques sont Lucrecia Martel et Lisandro Alonso.